Ecoles de rêve, on en parle... 50 ans après !

Je vous avais parlé de Georges Laubezout, un de ces maîtres dont on ne parle jamais. Quand j'étais jeune instit dans le Rhône, il y avait une autre "maîtresse" exceptionnelle que je connaissais bien, Renée Coquard. A l'époque, les journaux se gardaient bien de parler de ces "méthodes" qui sentaient le soufre. Et bien, 50 ans plus tard, voilà qu'un souvenir fait une page entière d'un journal lyonnais.

Est-ce un signe ?

Ci-joint, la page en question : ren_e_coquard   

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Comments

[Etiennette]

Très belle et étonnante page d'un quotidien pas spécialement réputé pour être révolutionnaire mais qui a dû permettre une belle découverte à ses lecteurs.

Il explique la rencontre avec Freinet qui a bouleversé la conception de "cette grande dame" et qui, très simplement, l'a mise en oeuvre.

C'est vrai que ce qui nous fait changer, ce sont le plus souvent les rencontres. Cela a été mon cas avec Monsieur Bernard Collot que je me permets de qualifier aussi de "grand bonhomme ordinaire" en espérant qu'il n'en sera pas offusqué.

Je suis sûre, il y a plein de "grandes dames ordinaires" et de "grands bonshommes ordinaires" mais faut-il encore pouvoir les rencontrer et ne pas s'obnubiler sur les personnages qui occupent les écrans médiatiques !

[Jean-Louis]

Je comprends de mieux en mieux ce que vous appelez "école du 3ème type"

[Jean-Louis]

Aviez-vous visité cette école ?