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Martine B - Je suis prof d'enfants quelque fois malheureux d’être là......
Philippe L. - parce que le rôle de l’État est d'assurer l'égalité entre les personnes
Benoit J. - Educateur de jeunes enfants et parent, je souhaiterais pouvoir trouver la diversité tant à l'école que dans la petite enfance.
Philippe L. - Nous savons très bien que le système actuel n'est plus en phase avec la réalité sociale dans laquelle nous sommes : les adaptations qu'on nous demande d'opérer sont bien insuffisantes. Pourtant, le système éducatif à lui-seul ne peut pas transformer la société, alors à quoi bon en changer ? Et bien pour créer une dynamique justement, un renouveau. Si nous voulons des jeunes qui soit actifs, qui prennent les choses en main au lieu de les subir, nous n'avons pas le choix, il faut avoir le courage de changer.
Marc P. - J'ai trop souffert à l'ecole.
Inés M. - Pour que tout le monde ait la possibilité de choisir une éducation inspiré des réflexion des grands pédagogues. La pédagogie c'est "un art" qui devrait être vécu dans le plaisir d'enseigner et d'apprendre.... En France l'éducation publique devient un vrai enfer non seulement pour les élèves mais aussi pour les professeurs....Il faudrait se poser des questions!!!
DIDIER H. - Pour faire reculer l'irresponsabilité
Isabel B. - Mon choix de parent, va vers les pédagogies alternatives, notamment Freinet et financièrement c'est quasiment inaccessible (nous avons 2 enfants) pour d'autres c'est impossible, je trouve cela urgent que ce choix en devienne réellement un car actuellement le choix d'une scolarisation classique est un non-choix !
Claudine R. - L'école et les enseignants sont confrontés à des situations d'opposition, de critiques et de démotivation des élèves pour lesquelles les réponses traditionnelles ne fonctionnent plus. Donnons au corps enseignants la possibilité d'explorer de nouvelles pistes, de se former à d'autres pratiques. Donnons à nos enfants la chance de grandir et de se construire avec des méthodes adaptées à la vie d'aujourd'hui.
Marie A. - Pour la liberté de choisir. - Marie-francoise I - En démocratie on doit pouvoir choisir son école.
Stéphanie P - Parce que je crois en la curiosité naturelle des enfants et que l'école institutionnelle la tue dans l'oeuf.
Françoise N. - Ex-enseignante en RASED (dont les postes ont été supprimés par mesure d'économie à court terme.) Je signe pour la prise en compte des besoins des enfants et non les sacrifier à une logique libérale.
Isabelle M. - Parce qu'il est temps de travailler ensemble pour l'avenir. Parce que je suis une maman qui rêve de voir une école qui apprend aussi la respiration, la non violence, le respect de la différence.... Il y a tant des gens formidables qui ont créé des pédagogies fantastiques qui ont fait leur preuves !!! Tous les adultes sont responsables de tous les enfants !! Une école de la vie avant d'être une école de la république !
Aurore N. - N'ayant pas encore d'enfant, je souhaite que mon (mes) futur(s) enfant(s) jouisse(nt) d'un enseignement alternatif à celui qui est aujourd'hui proposé dans les écoles publiques françaises. Je me suis tellement ennuyée à l'école ! Nous étions totalement passifs. Il s'agissait d'un gavage d'informations ennuyeux!
Danielle Broquié Melka - Parcequ'ayant fait mon mémoire de pshycho sociologue sur les classes de MONTESOURI, et FREINET,je suis profondément persuadée de l'utilité certaine de la pédagogie enseignée
Sophie R . - Pour que nos enfants puissent s'intégrer à un enseignement sans souffrance physique et psychologique.
Cécile Dehalu - Dans le même esprit, le réseau des écoles de citoyens, RECit, s'est engagé avec le Printemps de l'éducation partout en France pour le renouveau dans l'éducation ! Plus d'informations sur www;recit.net
Delphine E. - Il est tellement plus important que l'école se concentre sur le fait d'éduquer des enfants à être bien dans leur peau, développer leur esprit critique, leur amener les billes pour argumenter, pour communiquer avec bienveillance, échanger, plutôt que d'être dans un rapport enseignant, apprenant qui est bien souvent subi.
AMELIA B. - Je trouve ça plutôt intelligent pour l'avenir !!
Janique C. - Je signe car je suis concernée par ce problème : Par rapport au handicap de mon fils, j'ai été révolté de constater qu'il n'existait presque aucun choix d'établissements spécialisés. Il existe pourtant pleins d'options connues, mais que l'Etat ne veut pas voir ! A part les CLISS, rien d'autres. Une école se présentait alors à nous : elle se trouvait dans le département limitrophe au mien, privée hors contrat avec l'Etat, très onéreuse pour notre bourse, etc ... heureusement le transport était pris en charge pour les 5 petits élève de l'Isère qui s'y rendaient. Avec l'aide de la famille, nous avons pu y envoyer notre fils. Une chance car j'avais la famille ... Nous avons sauté sur l'occasion et nous les remercions sincèrement. Cette chance prendra fin à la rentrée 2014 car le Conseil Général en a décidé autrement en ne payant plus le transports. Frais de scolarité + frais de transports = impossible ! Les petits Isèrois devront désormais se contenter de ce que l'Etat leur propose : RIEN ! Le gouvernement devrait enfin prendre conscience que les meilleurs représentants du monde de l'handicap sont les parents, qui eux au moins connaissent les vrais problèmes et qui ont certainement de réelles solutions. Nous, parents, ne sommes pas des capricieux mais de réelles victimes du système. Et ce sont nos enfants qui en subissent les conséquences. Cordialement (NDLR : les approches alternatives permettent la différence, y compris quand celle-ci s’appelle handicap)
Laurent J. – Parce qu'il "semble" que l'audace née au lendemain de la seconde guerre mondiale soit bien loin, effacée par trente ans de logiques marchandes. Faut-il une nouvelle guerre pour que de nouvelles initiatives voient le jour?
Véronique C. - Professeur-documentaliste, je milite pour la pédagogie active dans tous les aspects de transmission, pour faire des élèves les acteurs de la construction du savoir.Que les pédagogies alternatives aient enfin une place dans notre système !
Philippe L. - parce que le rôle de l’État est d'assurer l'égalité entre les personnes et non de définir l’éducation des enfants et la façon dont elle doit être réalisée.
Isabelle B. - Pour permettre une prise de conscience de chacun: favoriser un autre regard que celui qui nous semble naturel vers un regard plus riche qui renverse nos idées pour permettre à chacun d'avoir une chance de trouver sa place, de ne pas décider de la vie de l'autre mais de l'aider à se trouver...
Delphine S. - Il est temps que les enfants qui en ont besoin aient accès à une forme d'éducation qui leur correspond. Ce n'est pas toujours simple pour un enfant de s'adapter à ce qui ne lui parle pas sans se sentir un peu exclu ou à la ramasse. Il est grand grand temps que l'on considère la différence comme un atout et que chaque individu puisse être écouté, entendu et soutenu.
Laurence W. - L'Education Nationale génère aujourd'hui trop de souffrance chez les enseignants... et chez les enfants ! Ce n'est pas une fatalité. Les économies réalisées dans ce secteur coûtent très cher par ailleurs (problèmes de santé, délinquance...)
Annik W. - J suis toujours très attachée à l'école publique, pour tous, mais elle est trop souvent inadaptée à trop d'enfants alors que d'autres modèles pédagogiques existent et ont fait leurs preuves : ouvrons l'école pour tous à ces alternatives
Cyrille L. - A moins d'être aveugle, ignorant, sot, ou encore complice, et vivant tous les jours les problèmes de tous ordres d'une majorité toujours grandissante d'enfants scolarisés en France, il est grand temps de réformer en profondeur le système éducatif français et de revenir aux fondamentaux en ouvrant enfin la porte à de réelles et sérieuses expériences éducatives individuelles et collectives!
Annaig M. - educatrice, et mère de famille, je me sens particulièrement concernée par ces questions de recherches pédagogiques et de choix éducatif; et je souhaiterais avoir d'autres possibilités pour mes enfants et les autres que l'on ait d'autres solutions que le simple choix entre la contrainte destructrice du système "education national" actuel et la non-scolarisation qui n'est pas à la portée de tous les parents
Georges C. - Cette proposition me semble honnête et intéressante
Morgane A. - Parce qu'il faut que les choses changent pour que notre société soit sauvée
Liumi A. - MARCHER NOS REVES
Christine FG.Parce que c'est évident et que l'Educ Nationale est à bout de souffle éducatif, sauf qql profs
Ln Glo. - Les enfants sont l'avenir du pays. Respectons leurs personnalités et rythmes d'apprentissage.
Marie Chrisitne M. - Pour qu'enfin nos politiques prennent en considération l'engagement auquel ont souscript leur Pays respectifs en 2000 quant à l'application des résolutions vers un monde de paix avec une EDUCATION plus ADAPTEE pour une CULTURE de la PAIX par l'apprentissage et l'éducation d'un ensemble de valeurs, d'aptitudes et de mode de vie qui rejette la violence, et prévient les conflits en s'attaquant aux racines pour permettre des négociations entre les groupes et les individus. l'EDUCATION arrive en tête des priorités.
Julie J. - J'ai été en école publique Freinet et je souhaite trouver le même type d'enseignement en école publique pour mon enfant ...
Valérie N-R. - Parent d'un enfant scolarisé à l'école Decroly
Rodolphe M. - Il serait temps que l'on sorte de la dictature du cerveau gauche et que s'épanouisse une pensée plus intelligente et moins mécanicisée. Donc d'une autre éducation.
Rachelle D. - Je travaille dans un lycée où les adolescents se forcent chaque matin à se lever pour aller s'ennuyer dans une salle de classe avec un prof qui subit le programme , le fond et la forme ...dommage ...ils disent avoir l'impression de perdre beaucoup de temps...et d'énergie : comme je les comprends !
Ingrid B. - Pour que l'éducation nationale comprenne que tous les enfants n'ont pas tous la même façon d'apprendre et l'on a besoin de plusieurs approche pour rendre égaux les enfants pour qu'ils réussissent.
Jean-michel F. - car il faut un pluralisme de pédagogie ; les enfants et leurs parents étant tous différents. De plus cette diversité pourrait amener une stimulation et des échanges féconds entre les pédagogies. Pour la cultudiversité comme la biodiversité.
Philippe S. - Ils ont toute refondu mon école, alors ils ont droit à un gage. Qu'ils ne fassent plus rien pendant dix ans. On s'occupe de tout. Je sais c'est difficile mais la sagesse passe peut-être par là. Bravo aux initiateurs de cette école pour tous.
André Pierre G. - Mon père regretté, voulait depuis plus de 50ans appliquer la méthode Freinet en tant qu'enseignant, il fut banni.
Sophie F. - Pour que les enfants de demain puissent s'ouvrir aux choses qui les entours et non pas qu'à leur monde virtuel... ces enseignements sont pour moi une solution à l'uniformisation de pensées car elle donne une liberté d'expression et une autonomie aux enfants qui leur permet de se construire tels qu'ils sont. Que tout le monde ne fasse pas le choix de ce mode d'éducation, je le conçois, mais que tout le monde puisse y avoir accès est pour moi fondamental.
Catherine H-D. - Membre du mouvement Freinet, cet appel a suscité beaucoup de débats et de reflexions sur le principe du choix dans l'école publique. Je pense que nous devons nous autoriser à cette demande afin de faire bouger les choses et faire entendre la voix de tous ceux qui veulent que ça bouge. et puis un appel commun de parents et d'enseignants je trouve ça super et c'est la première fois !
Alice C. - Orthophoniste, je vois tous les jours des enfants qui auraient besoin d'une pédagogie adaptée, individualisée. Pour ces enfants et pour le mien, je crois qu'une école sans esprit de compétition et d'évaluation-sanction est possible. Une école où l'estime de soi et des autres serait une valeur primordiale. Laisser aux parents le libre choix d'une pédagogie pour leurs enfants permettrait aussi de les responsabiliser, les impliquer vraiment.
Sylvain C. - Je sors de ma formation de deux ans à l'ESPE sans presque jamais n'avoir parlé de toutes ces pratiques alternatives...
Sylvain R. - Je signe parce que mes enfants se déplacent cette année en étant scolarisés dans plusieurs écoles. Du coup, elles voient des méthodes différentes, notamment dans les "petites" écoles de village qui favorisent les multi-niveaux. Il faudrait pouvoir généraliser les classes à multi-niveaux car elles créaient un lien social, mot si cher à nos dirigeants et qui faut, selon eux, recréer dans le corps social adulte, alors qu'il faudrait simplement le favoriser dès le plus jeune âge à l'école. L'écoute, l'entraide, le partage entre les âges est primordial pour une vision large de la société et sortir des "carcans" et des "ghettos".
Veronique M. - Il est normal de pouvoir choisir le mode d'éducation que nous voulons pour nos enfants et si le gouv. ne veut pas dans les écoles publiques un fonctionnement différent et bien qu'il aide les écoles dîtes alternatives en leur donnant les même budget. Il va de soi que pour la mixité des idées deux ou plusieurs formes au sein d'une même école, sans doute un peu plus complexe à gérer.
Albrecht R. - Pour que les enfants et les enseignants volontaires puissent suivre un parcours cohérent, et pour que les réussites et bonnes pratiques qui s'en dégagent puissent servir d'exemple et profiter au plus grand nombre.
Belle B. - Pour une école qui soit autre chose que de formater la jeunesse a l’employabilite, une école plus digne et plus douce
Charlotte L. - La possibilité pour chaque enfant d'apprendre dans les conditions dont il a besoin.
Delphine T. - Ayant des enfants qui ne s'adaptent pas très bien au système scolaire classique, j 'aurais aimé qu' ils puissent bénéficier d'un enseignement différent...
Yann LG. - Malgré la volonté des enseignants (de certains en tous les cas) l'ensemble du système fonctionne de façon à démotiver les enfants et jeunes, mais aussi les parents qui sont confrontés à des absurdités quand il s'agit de prendre en compte son enfant dans sa singularité. L'on est amené à soutenir des positions qui n'ont pas de sens pour que son enfant reste dans une position de vouloir apprendre alors qu'il s'y ennuie. Dur. D'autres choix s'imposent, centrés sur les désirs d'apprendre comme l'évoque la pétition. Merci de l'avoir lancée.
Laurence V. - Parce que j'ai une enfant de 9 ans, qui ne se retrouve pas dans le modèle d'apprentissage proposé et que la lutte que je dois mener au quotidien pour la soutenir est épuisante.