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Publications 2012. Auto-édition, commande seulement sur TheBookEdition.com (catalogue, sciences humaines, pédagogie et éducation)

200 pages Commander : TheBookEdition	« Multi-âge » L’auteur a été le premier à s’élever contre la suppression des classes uniques en disant qu’au lieu d’être archaïques comme on le prétendait à l’époque, elles étaient au contraire l’école du XXIème siècle. Il l’a largement prouvé avec quelques autres enseignants des Centres de Recherches des Petites Structures et de la Communication (CREPSC). Mais le multi-âge induit et se situe « radicalement » comme il le dit dans une autre approche de l’école, du système éducatif. Comme à son habitude, Bernard COLLOT alterne dans cet ouvrage le concret et le plus théorique dans des aller et retour qui s’éclairent. Les textes en grande partie sont ceux de conférences, d’articles écrits à partir de 1989 ou extraits de la revue « Ecole rurale, école nouvelle » qu’il a fondée, dirigée et rédigée pendant une dizaine d’années. L’école multi-âge est alors bien une autre école qui fait envie, où les problèmes récurrents et insolubles de l’école traditionnelle disparaissent, et qui semble même facile. Un autre monde que l’auteur et ses collègues et amis mettent à la portée.
74 pages Commander : TheBookEdition	« Les   classes uniques, structures dissipatives » En 1993, à la surprise générale les travaux   de Françoise OEUVRARD montrent que les résultats des classes uniques sont   légèrement supérieurs à la moyenne nationale. Qu’est-ce qui peut expliquer ce   phénomène ? Pendant toute une carrière en classe   multi-âge, l’auteur s’est penché sur ce qui semblait rationnellement   impossible. Au-delà des approches et des pratiques   éducatives qui y sont très souvent notablement différentes, les classes   uniques constituent ce que le physicien Ilya PRIGOGINE a appelé des   « structures dissipatives » qui sont les structures des systèmes   ouverts, ce que sont tous les systèmes vivants. Ainsi considérées, les classes uniques non   seulement sont un autre monde mais aussi contribuent à la transformation du   territoire de proximité dans lequel elles sont incluses. C’est à partir de ces classes qu’est née ce   que Bernard COLLOT à appelé « une école du 3ème type »   ou « l’école de la simplexité » dans d’autres ouvrages.
60 pages Commander : TheBookEdition	« Eduquer,   coéduquer, une question de pouvoirs » On parle beaucoup aujourd’hui de   parentalité, de coéducation. Faut-il encore s’entendre sur ces termes. Dans cette conférence, Bernard COLLOT pose   à sa façon ce qui est pour lui une problématique. Et il la pose en partant   des espaces de construction de l’enfant en adulte et des pouvoirs que les   différents acteurs éducatifs exercent dans ces espaces. Entre l’espace de la famille et l’espace   scolaire, l’auteur a choisi la crèche parentale qu’il connaît bien et qui   constitue pour lui un lieu où la coéducation est possible. Pour arriver à la coéducation dans l’école,   de nombreuses remises en question devront être faites.
Déjà signalé	« L’école   de la simplexité », 540 pages, TheBookEdition « Chroniques   d’une école du 3ème type », 160 pages,TBE « La   pédagogie de la mouche », 40 pages, TBE

Comments

[enseignant]

J'avais déjà acheté l'école de la simplexité. Cela ne se lit pas d'une traite ! Mais j'avais été intrigué. J'ai donc commandé tout ce que vous avez édité et m'y suis plongé. J'ai bien fait parce qu'ils se lisent plus facilement et permettent de revenir plus facilement à l'école de la simplexité qui semble être votre ouvrage fondamental. C'est dans un sens curieux et révélateur : de la difficulté de la complexité dont nous savons tous qu'elle est celle des apprentissages, on arrive à la simplexité !

Je ne comprends pas que vous n'ayez pas trouvé d'éditeur pour ce que je perçois comme une "oeuvre". C'est vraiment par le plus grand hasard (merci quand même google !) que je suis tombé sur ce blog. Je me doute que vous pouvez être contesté. Mais c'est vrailment dommage que ces travaux ne bénéficient pas de la même diffusion que les autres parce qu'ils apportent quelque chose de nouveau. Tout au lmoins pour moi.

Je les conseille du coup à quelques amis enseignants et parents, mais cela ne va pas loin.

Je vous remercie vivement de ce que vous proposez à ma réflexion et à ce qui m'engage à transformer un peu mes pratiques (j'ai dix ans de métier)

Je me suis permis de vous envoyer un message personnel pour vous demander comment je pourrais faire pour participer au groupe dont vous parlez dans vos livres (les CREPSC).